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  • Microfilm  (4)
  • [Frankreich] : [Verlag nicht ermittelbar]  (4)
  • Gesellschaft
  • Kultur
  • USA
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Material
  • Microfilm  (4)
Language
Years
  • 1
    Language: French
    Pages: 506 Seiten , 105 x 148 mm
    Edition: Mikrofiche-Ausgabe Lille Atelier national de reproduction des thèses$h2010 2 Mikrofiches
    Series Statement: Lille-thèses
    Parallel Title: Erscheint auch als Entre luttes indiennes et « rêve américain » : l'expérience migratoire des jeunes Indiens mexicains aux Etats-Unis / Alejandra Aquino Moreschi
    Dissertation note: Dissertation Paris, École des hautes études en sciences sociales 2010
    Keywords: Ejército zapatista de liberación nacional (Mexique) ; Indiens d'Amérique ; Mexique ; Oaxaca (Mexique) ; 1970- ; Indiens d'Amérique ; Mexique ; Chiapas (Mexique ; État) ; 1970- ; Chiapanèques (Indiens) ; 1970- ; Mouvements sociaux ; Mexique ; Oaxaca (Mexique) ; 1970- ; Mouvements sociaux ; Mexique ; Chiapas (Mexique ; État) ; 1970- ; Émigration et immigration ; Mexique ; 1970- ; Mexicains ; États-Unis ; Conditions sociales ; 1990-2020 ; Rêve américain ; Thèses et écrits académiques ; Hochschulschrift ; Chiapas ; Oaxaca ; Indigenes Volk ; Jugend ; Auswanderung ; Soziale Bewegung ; USA ; Einwanderung ; Politische Bewegung ; Anerkennung
    Abstract: La présente enquête se situe à l'intersection de deux thèmes de recherche: les mouvements indiens qui ont surgi au Mexique dans les années 1980 et 1990 (zapatisme et comunalisme oaxaqueño) et la migration aux Etats-Unis d'hommes et de femmes y ayant directement ou indirectement participe. Autrement dit, je m'interroge sur le passage du militantisme à la migration transnationale et sur l'expérience de ces nouveaux migrants de l'autre côté de la frontière. Je soutiens que ce passage représente un déplacement tant spatial que politique et subjectif. On passe ainsi d'un modèle dans lequel les luttes pour la reconnaissance représentaient une alternative politique mais aussi un projet de vie pour toute une génération d'acteurs indiens, a un modèle ou ces luttes, tout en se prolongeant et se consolidant dans certaines régions, perdent dans d'autres leur centralité, dans la mesure ou elles cessent de mobiliser et/ou de faire sens pour certains jeunes Indiens chez qui l'émigration transnationale s'impose comme l'unique horizon possible. À partir d'une enquête menée à la fois au Mexique dans les états du Chiapas et de Oaxaca et aux Etats-Unis, je cherche à restituer l'expérience militante et migratoire de ces jeunes en accordant une place centrale à leurs subjectivités, ce qui me permet d'insister sur la marge d'autonomie qui existe pour l'action individuelle et collective. Mettre l'accent sur celles-ci ne me conduit pas pour autant à ignorer les causes « objectives » qui les ont poussées à quitter leur communauté, ni les phénomènes d'exploitation, d'exclusion, de racisme et de manque de reconnaissance, auxquels ils se confrontent aux Etats-Unis
    Abstract: The present research is located at the crossing of two important topics. The first matter talks about the indigenous movements that emerged in Mexico in the decades of 1980 and 1990; and the second topic refers to the migration to the United States by part of men and women who participated, direct or indirectly, in these movements. Therefore, I wonder about the step from their political activism or militancy towards transnational migration and about these new migrants' experience beyond the border. I think that the pass from militancy into transnational migration represents bath a spatial shift and a political and subjective displacement too. This means a shifting from a model where the fights for recognition implied a political choice and a life project for an entire generation of indigenous actors into another model. In this last model, the fights continue and become consolidated in some areas. In other regions, however, these fights are losing centrality since they do not mobilize or make sense for certain young indigenous people, amongst whom transnational migration prevails as the only possible horizon. Starting from a research carried out in Chiapas and Oaxaca States (Mexico) and in the United States, l try to reconstruct these youngsters militant and migratory experience by giving a central place to their subjectivity. This last point allows me to underline the autonomy margin that exists for the individual and collective actions. To lay the stress on the subjective dimension does not mean to ignore either the objective reasons that obliged them to leave their communities, or the exploitation, racism, and lack of recognition phenomena that they face in the United States
    Note: Bibliogr. p. 477-499. Notes bibliogr
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    Language: French
    Pages: 506 Seiten , 105 x 148 mm
    Edition: Mikrofiche-Ausgabe Lille Atelier national de reproduction des thèses$h2010 2 Mikrofiches
    Series Statement: Lille-thèses
    Parallel Title: Erscheint auch als Entre luttes indiennes et « rêve américain » : l'expérience migratoire des jeunes Indiens mexicains aux Etats-Unis / Alejandra Aquino Moreschi
    Dissertation note: Dissertation Paris, École des hautes études en sciences sociales 2010
    Keywords: Ejército zapatista de liberación nacional (Mexique) ; Indiens d'Amérique ; Mexique ; Oaxaca (Mexique) ; 1970- ; Indiens d'Amérique ; Mexique ; Chiapas (Mexique ; État) ; 1970- ; Chiapanèques (Indiens) ; 1970- ; Mouvements sociaux ; Mexique ; Oaxaca (Mexique) ; 1970- ; Mouvements sociaux ; Mexique ; Chiapas (Mexique ; État) ; 1970- ; Émigration et immigration ; Mexique ; 1970- ; Mexicains ; États-Unis ; Conditions sociales ; 1990-2020 ; Rêve américain ; Thèses et écrits académiques ; Hochschulschrift ; Chiapas ; Oaxaca ; Indigenes Volk ; Jugend ; Auswanderung ; Soziale Bewegung ; USA ; Einwanderung ; Politische Bewegung ; Anerkennung
    Abstract: La présente enquête se situe à l'intersection de deux thèmes de recherche: les mouvements indiens qui ont surgi au Mexique dans les années 1980 et 1990 (zapatisme et comunalisme oaxaqueño) et la migration aux Etats-Unis d'hommes et de femmes y ayant directement ou indirectement participe. Autrement dit, je m'interroge sur le passage du militantisme à la migration transnationale et sur l'expérience de ces nouveaux migrants de l'autre côté de la frontière. Je soutiens que ce passage représente un déplacement tant spatial que politique et subjectif. On passe ainsi d'un modèle dans lequel les luttes pour la reconnaissance représentaient une alternative politique mais aussi un projet de vie pour toute une génération d'acteurs indiens, a un modèle ou ces luttes, tout en se prolongeant et se consolidant dans certaines régions, perdent dans d'autres leur centralité, dans la mesure ou elles cessent de mobiliser et/ou de faire sens pour certains jeunes Indiens chez qui l'émigration transnationale s'impose comme l'unique horizon possible. À partir d'une enquête menée à la fois au Mexique dans les états du Chiapas et de Oaxaca et aux Etats-Unis, je cherche à restituer l'expérience militante et migratoire de ces jeunes en accordant une place centrale à leurs subjectivités, ce qui me permet d'insister sur la marge d'autonomie qui existe pour l'action individuelle et collective. Mettre l'accent sur celles-ci ne me conduit pas pour autant à ignorer les causes « objectives » qui les ont poussées à quitter leur communauté, ni les phénomènes d'exploitation, d'exclusion, de racisme et de manque de reconnaissance, auxquels ils se confrontent aux Etats-Unis
    Abstract: The present research is located at the crossing of two important topics. The first matter talks about the indigenous movements that emerged in Mexico in the decades of 1980 and 1990; and the second topic refers to the migration to the United States by part of men and women who participated, direct or indirectly, in these movements. Therefore, I wonder about the step from their political activism or militancy towards transnational migration and about these new migrants' experience beyond the border. I think that the pass from militancy into transnational migration represents bath a spatial shift and a political and subjective displacement too. This means a shifting from a model where the fights for recognition implied a political choice and a life project for an entire generation of indigenous actors into another model. In this last model, the fights continue and become consolidated in some areas. In other regions, however, these fights are losing centrality since they do not mobilize or make sense for certain young indigenous people, amongst whom transnational migration prevails as the only possible horizon. Starting from a research carried out in Chiapas and Oaxaca States (Mexico) and in the United States, l try to reconstruct these youngsters militant and migratory experience by giving a central place to their subjectivity. This last point allows me to underline the autonomy margin that exists for the individual and collective actions. To lay the stress on the subjective dimension does not mean to ignore either the objective reasons that obliged them to leave their communities, or the exploitation, racism, and lack of recognition phenomena that they face in the United States
    Note: Bibliogr. p. 477-499. Notes bibliogr
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 3
    Language: French
    Pages: 519 Seiten, 131 Seiten, [32] Seiten Bildtafeln , Illustrationen , 110 x 148 mm
    Edition: Mikrofiche-Ausgabe Lille Atelier national de reproduction des thèses$h2012 2 Microfiches
    Parallel Title: Erscheint auch als Gangs, communautés, sociétés : analyse et interprétations de la sociologie de Chicago / Marie Fleck
    Dissertation note: Dissertation Universität Straßburg 2010
    DDC: 307
    Keywords: Sociologie ; États-Unis ; Chicago ; Délinquance juvénile ; États-Unis ; Chicago ; Thèses et écrits académiques ; Hochschulschrift ; Chicago, Ill. ; Jugendkriminalität ; Jugendbande ; Gesellschaft ; Sozialisation ; Geschichte 1920-1940
    Abstract: Dans la sociologie américaine, les gangs sont devenus un objet de connaissance avec The Gang (1927) de Frederic Thrasher comme oeuvre majeure, aujourd’hui un classique. A l’époque, cette oeuvre a été influencée par les acteurs du mouvement réformiste, pour lesquels les questions de l’enfance, de l’adolescence et de la délinquance juvénile ont été fondamentales. Aussi, elle reprend les grands principes de la sociologie de Chicago véhiculés à travers l’enseignement de William I. Thomas, Robert E. Park et Ernest W. Burgess. Le point de vue thrasherien avait pour intérêt de penser les gangs dans leurs dimensions processuelle et contextuelle : les gangs, formés par le conflit, étaient perçus comme des groupes en mouvement, aux caractéristiques propres à leur environnement social. L’objectif de notre thèse, ainsi, a été de rendre compte des apports de la sociologie chicagoane des années 1920-1940 à la réflexion sur les gangs et de questionner la contemporanéité de leur(-s) approche(-s). Pour ce faire, nous avons procédé, dans un premier temps, à un « détour historique », à une analyse des premiers travaux de sociologie sur les gangs et la délinquance juvénile dans leur contexte à partir de documents d’archives. Nous nous sommes ensuite intéressés aux différentes perspectives sociologiques américaines sur les gangs, à leurs divergences et leur capacité à expliquer la formation, le maintien, et la désintégration des gangs, leur rapport à la communauté, à la société dans son ensemble. Enfin, nous avons prolongé notre réflexion à l’appui d’un exemple contemporain, l’essor récent des gangs constaté à Indianapolis, à partir de données de la brigade antigang de la ville
    Abstract: In American sociology, gangs have become an object of knowledge with Frederic Thrasher’s The Gang (1927), a fundamental work and a classic today. This work has been influenced by the reformists who felt predominantly concerned about issues relative to childhood, adolescence and juvenile delinquency in Chicago. It is also inspired by the Chicago sociology main ideas transmitted through William I. Thomas, Robert E. Park and Ernest Burgess teaching. Thrasher’s specificity was to view gangs in their processual and contextual dimensions: integrated through conflict, gangs were perceived as groups in movement, with characteristics originating from their social environment. Our thesis was aimed at revealing the 1920-40 Chicago sociology’s contributions to gang research and at questioning its contemporaneity. Therefore, first, we made a “historical detour”, a contextual analysis of the first sociological studies on gangs and on juvenile delinquency based on archival material. We have been then interested in the different American sociological perspectives on gangs and their ability to explain gang formation, maintenance and disintegration, gang relations to communities and wider society. We finally extended our study through a contemporaneous example, gang recent development in Indianapolis with data from the city gang unit
    Note: Bibliogr. vol. 1, p. 485-510. Index , Die ursprüngliche Ausgabe ist eine mehrteilige Monografie , Reproduction de : Thèse de doctorat : Sociologie : Strasbourg : 2010
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 4
    Language: French
    Pages: 519 Seiten, 131 Seiten, [32] Seiten Bildtafeln , Illustrationen , 110 x 148 mm
    Edition: Mikrofiche-Ausgabe Lille Atelier national de reproduction des thèses$h2012 2 Microfiches
    Parallel Title: Erscheint auch als Gangs, communautés, sociétés : analyse et interprétations de la sociologie de Chicago / Marie Fleck
    Dissertation note: Dissertation Universität Straßburg 2010
    DDC: 307
    Keywords: Sociologie ; États-Unis ; Chicago ; Délinquance juvénile ; États-Unis ; Chicago ; Thèses et écrits académiques ; Hochschulschrift ; Chicago, Ill. ; Jugendkriminalität ; Jugendbande ; Gesellschaft ; Sozialisation ; Geschichte 1920-1940
    Abstract: Dans la sociologie américaine, les gangs sont devenus un objet de connaissance avec The Gang (1927) de Frederic Thrasher comme oeuvre majeure, aujourd’hui un classique. A l’époque, cette oeuvre a été influencée par les acteurs du mouvement réformiste, pour lesquels les questions de l’enfance, de l’adolescence et de la délinquance juvénile ont été fondamentales. Aussi, elle reprend les grands principes de la sociologie de Chicago véhiculés à travers l’enseignement de William I. Thomas, Robert E. Park et Ernest W. Burgess. Le point de vue thrasherien avait pour intérêt de penser les gangs dans leurs dimensions processuelle et contextuelle : les gangs, formés par le conflit, étaient perçus comme des groupes en mouvement, aux caractéristiques propres à leur environnement social. L’objectif de notre thèse, ainsi, a été de rendre compte des apports de la sociologie chicagoane des années 1920-1940 à la réflexion sur les gangs et de questionner la contemporanéité de leur(-s) approche(-s). Pour ce faire, nous avons procédé, dans un premier temps, à un « détour historique », à une analyse des premiers travaux de sociologie sur les gangs et la délinquance juvénile dans leur contexte à partir de documents d’archives. Nous nous sommes ensuite intéressés aux différentes perspectives sociologiques américaines sur les gangs, à leurs divergences et leur capacité à expliquer la formation, le maintien, et la désintégration des gangs, leur rapport à la communauté, à la société dans son ensemble. Enfin, nous avons prolongé notre réflexion à l’appui d’un exemple contemporain, l’essor récent des gangs constaté à Indianapolis, à partir de données de la brigade antigang de la ville
    Abstract: In American sociology, gangs have become an object of knowledge with Frederic Thrasher’s The Gang (1927), a fundamental work and a classic today. This work has been influenced by the reformists who felt predominantly concerned about issues relative to childhood, adolescence and juvenile delinquency in Chicago. It is also inspired by the Chicago sociology main ideas transmitted through William I. Thomas, Robert E. Park and Ernest Burgess teaching. Thrasher’s specificity was to view gangs in their processual and contextual dimensions: integrated through conflict, gangs were perceived as groups in movement, with characteristics originating from their social environment. Our thesis was aimed at revealing the 1920-40 Chicago sociology’s contributions to gang research and at questioning its contemporaneity. Therefore, first, we made a “historical detour”, a contextual analysis of the first sociological studies on gangs and on juvenile delinquency based on archival material. We have been then interested in the different American sociological perspectives on gangs and their ability to explain gang formation, maintenance and disintegration, gang relations to communities and wider society. We finally extended our study through a contemporaneous example, gang recent development in Indianapolis with data from the city gang unit
    Note: Bibliogr. vol. 1, p. 485-510. Index , Die ursprüngliche Ausgabe ist eine mehrteilige Monografie , Reproduction de : Thèse de doctorat : Sociologie : Strasbourg : 2010
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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