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  • MPI Ethno. Forsch.  (2)
  • Kalliope (Nachlässe)
  • GRASSI Mus. Leipzig
  • 2005-2009  (2)
  • 1995-1999
  • Yann Lagadec  (2)
  • [Erscheinungsort nicht ermittelbar] : Presses universitaires de Rennes  (2)
Datasource
  • MPI Ethno. Forsch.  (2)
  • Kalliope (Nachlässe)
  • GRASSI Mus. Leipzig
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  • [Erscheinungsort nicht ermittelbar] : Presses universitaires de Rennes  (2)
  • 1
    Online Resource
    Online Resource
    [Erscheinungsort nicht ermittelbar] : Presses universitaires de Rennes
    ISBN: 9782753566637
    Language: French
    Pages: 1 Online-Ressource
    Abstract: En 1789, l'Assemblée constituante raya d'un trait de plume les complexes divisions territoriales de l'Ancien Régime. Elle institua, d'une part, les départements, qui ont subsisté jusqu'à nos jours, et, à l'autre extrémité, elle donna le statut de « commune » à près de 38 000 collectivités, paroisses et communautés. Le maillage communal a lui aussi perduré jusqu'à l'époque actuelle : c'est là une particularité unique en Europe mais apparemment indestructible. Cet émiettement frappa tout de suite les contemporains. Si certains le regrettèrent, ce fut trop tard. Mais on imagina très tôt de regrouper certaines fonctions à un échelon supérieur. Les juges de paix, les brigades de gendarmerie, les curés doyens, ne pouvaient exercer leur action dans le cadre d'une seule commune. Certains scrutins exigeaient un regroupement minimum des électeurs. Ainsi naquit le canton. Mais, structure intermédiaire entre la commune et le district, puis, après 1800, entre la commune et l'arrondissement, on se garda de lui donner une vraie personnalité et un mode de représentation. Le faire aurait diminué l'importance des maires et des communes, relais essentiel, maillage majeur de l'administration et du gouvernement de la France, et, après 1800, l'importance des sous-préfets, piliers de l'administration territoriale, et des arrondissements. Seul le Directoire tenta, entre 1795 et 1799, de substituer le canton à la commune. Ce fut un échec, définitif. Ainsi, pendant deux cents ans, le canton survécut comme base électorale de certaines carrières politiques, siège de justice, voire de police, circonscription de recrutement pour les grandes armées permanentes naissantes, territoire indispensable pour le droit, l'administration, les habitus institutionnels français, carrefour de routes, lieu de foires et de marchés, centre d'artisanat et de commerce. Et pourtant, malgré d'innombrables propositions de réformes, jamais il ne fut reconnu comme un véritable échelon politique. C'est cette histoire – peut-être en voie d'achèvement – que ce colloque, organisé en septembre 2006 à l'université Rennes 2, voudrait tirer de l'ombre
    Note: French
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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  • 2
    ISBN: 9782753566941
    Language: French
    Pages: 1 Online-Ressource
    Abstract: Le 11 septembre 1758, l’arrière-garde d’un corps expéditionnaire britannique est défaite sur la plage de Saint-Cast par des troupes françaises commandées par le duc d’Aiguillon. Cette bataille ne constitue en fait que l’ultime épisode d’une opération bien plus vaste, l’une des « descentes » sur les côtes de France mises sur pied par Army et Navy au cours de l’été 1758. Ce raid, débuté sous les meilleurs auspices le 4 septembre par un débarquement de vive force, opération presque routinière pour les forces britanniques qui la répètent pour la troisième fois en l’espace de quelques semaines, avait pour objectif Saint-Malo, l’un des principaux ports français. Il a cependant fallu au général Bligh abandonner cette perspective, les défenses de la ville mais aussi la météorologie contraignant ses troupes à rebrousser chemin et à gagner un point de rembarquement. Ce repli est d’ailleurs marqué par des opérations de « petite guerre » dans le bocage breton, exposant les Britanniques au harcèlement des milices gardes-côtes. C’est à l’étude de cette bataille atypique, « entre terre et mer » selon l’expression du chevalier de Mirabeau, que cet ouvrage est consacré. En replaçant l’affrontement du 11 septembre dans un cadre plus large, tactique, stratégique ou diplomatique, il cherche à replacer les événements dans le contexte de la guerre de Sept Ans (1756-1763) d’une part, de ce que l’on a pu appeler la « seconde guerre de Cent Ans » (1689-1815) d’autre part. Mais il s’agit aussi de comprendre ce que purent être les conséquences de ces combats pour les populations du littoral breton, ce qui conduisit aussi à la mobilisation de certains face à l’ennemi, sans négliger pour autant la lente construction de la mémoire de l’événement. Célébrée par Voltaire dès 1758, la bataille de Saint-Cast a en effet été érigée au XIXe siècle en « lieu de mémoire » breton par toute une érudition régionaliste qui y vit tout à la fois le moyen de dénoncer les agissements du duc d’Aiguillon bientôt empêtré dans l’« Affaire de Bretagne » et de vanter une certaine image de la Bretagne, conduite par ses élites naturelles que seraient les nobles
    Note: French
    Library Location Call Number Volume/Issue/Year Availability
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